Suite aux dernières annonces du Président Macron en ce soir du 28 octobre, à propos du second confinement, nous ne pouvons que constater avec effroi que la liste des « sacrifiés » s’allonge encore.
Tout le secteur de l’événementiel n’a jamais refait surface depuis mars dernier. Les restaurateurs et patrons de bars sont à deux doigts de la noyade. Les hôteliers, ayant déjà dû licencier leur personnel, préparent leur dépôt de bilan. Les libraires et plus généralement les commerces dit « non-essentiels », marcheront dans le même cortège funèbre. (etc etc)
L’échec retentissant de la politique gouvernementale depuis le début de cette épidémie n’a aucun équivalent. Le « coup de frein brutal » que veut asséner le Président à l’épidémie, ressemble en réalité à une estocade portée en plein coeur de
l’économie française.
D’une certaine façon, on pourrait aussi concevoir qu’il s’agirait d’une très grande opération de financiarisation des états, par l’augmentation de la dette publique et privée auprès des banques. Il est même permis de se demander si tout cela ne sert pas principalement à atténuer ou à reporter, l’effondrement des bulles économiques qui nous menaçait.
Mais qu’à cela ne tienne, d’ici l’année prochaine, nous serons tous en bonne santé, et la France aura un PIB proche de celui des pays du tiers-monde. Il ne nous restera plus alors qu’à compter les dommages collatéraux.
Face à l’incompétence, le remède est pire que le mal.
« Les ruines, faillites, destructions massives d’entreprises, d’emplois, vies humaines, investissements, provoqués par le confinement aboutissent à tuer beaucoup plus de personnes qu’à en sauver »
Docteur Nabarro, de l’OMS, signataire de la Déclaration de Great Barrigton avec plus de 35 000 autres scientifiques et praticiens de médecine, tous contre les effets dévastateurs du confinement.