Le 17 mai 1940 à Montcornet, « l’esprit de la résistance se leva » selon le Président Macron. C’est ainsi qu’après avoir défendu son pays, le Général de Gaulle dû quelques semaines plus tard se battre contre les dirigeants de la France pour ranimer la flamme de l’espérance.
80 ans plus tard et dans un contexte bien différent, Emmanuel Macron salue donc le parcours du plus illustre des présidents de la VIème République sans jamais n’avoir pu se hisser à la hauteur de sa simple cheville. Car, il faut le reconnaitre, les valeureux soldats qui officièrent sous les ordres de De Gaulle n’étaient pas des amateurs, ils aimaient leur drapeau et n’auraient jamais accepté aucun renoncement. Ors, 80 années plus tard, loin du patriotisme viscéral des français de la seconde guerre mondiale, le gouvernement d’Emmanuel Macron plie toujours le genou devant notre drapeau brûlé par certains, sans qu’aucun ne se lève pour les en empêcher.
Nul n’est comparable au Général de Gaulle qui, par amour pour la France n’aurait jamais acquiescé devant la perte de nos valeurs traditionnelles ni devant notre hymne que certains « dégueulent » et qui, sous couvert de liberté d’expression, font et disent en France, ce qu’ils ne pourraient faire dans aucun autre pays du monde sans que cela ne soit sanctionné. L’espérance du Général De Gaulle ne sera jamais la gabegie de ceux qui lui ont succédé, sans aucun talent.
Comme il l’a dit à propos d’Albert Lebrun, le Général pourrait encore dire aujourd’hui au sujet d’Emmanuel Macron:
«Comme chef de l’État, deux choses lui avaient manqué: qu’il fut un chef et qu’il y eût un État»