Avec la mort du Président Giscard D’Estaing s’en va aussi une France aux accents bucoliques, celle de l’insouciance qui nous embrassait tous dans les années 70.
Lui qui a gouverné avec respect et distinction, qui a modernisé et fait progresser notre pays a « regardé la France au fond des yeux » et a finalement « atteint son cœur ».
Nul doute que dans les livres d’histoire, une place très honorable lui sera réservée.